Aux dernières nouvelles, je me sauvais à Magog pour fuir une horde de paparazzis. Bonne nouvelle, je les ai semés ! Je n’ai vu personne là-bas, et j’ai pu me vautrer dans l’écriture, comme prévu. Et pour ceux qui pensent que je me la coule douce sur le dos de leurs impôts, je peux vous dire que vous avez raison ;-) Je vis effectivement les plus beaux jours de ma vie, et je rêve de pouvoir vivre ainsi jusqu’à la fin de mes jours.
Pour vous faire saliver un peu, voici l’horaire typique d’une journée au lac Lovering (j’aimerais poser quelques questions à celui qui a trouvé ce nom charmant… à quel anneau d’amour fait-il référence ?) :
8h00 réveil
8h15 jogging
8h45 douche
9h00 déjeuner
9h30 écriture
midi Dîner
13h Lecture
14h30 Écriture
17h Débouche le vin et continu à écrire
18h Préparation du souper (pour ceux qui ne s’en doute pas encore, cuisiner est une de mes activités favorites !)
19h Souper
et pour terminer la soirée, dessin pendant une heure ou deux, jusqu’à ce qu’il ne reste plus de vin.
J’ai tellement aimé ça la première semaine que j’y suis retourné le lundi suivant pour ne revenir à Montréal que jeudi dernier, le 20 septembre. La vie recluse a ses beaux côtés, mais après deux semaines comme ça, j’avais quand même hâte de voir un peu de monde.
L’isolement a eu l’effet souhaité. J’ai terminé la version 6.1 de mon récit, ce qui conclut la première version de mon scène à scène. Mais ce n’est pas fini pour autant. Prochaine étape : révision et commentaires (que je prévois nombreux) de Ken Scott, mon conseiller. Peut-être que ce sera à recommencer, peut-être qu’il faudra que j’oublie de faire carrière comme cinéaste… suspense !
Bon, c’est un peu plate cette colonne. Mon horaire, mes bonnes nouvelles, patati patata. Pour récompenser ceux qui lisent toujours, j’avais pensé vous glisser ici le résumé du scénario et dévoilé enfin un peu du contenu de l’histoire… mais je suis vraiment moumoune. J’ose pas. Vous savez peut-être déjà que je suis un adepte de la théorie du complot (on appelle ça PARANO en langage vulgaire). Mais je vous conterai une autre fois mes altercations avec échelon. Je ne voudrais quand même pas que mon blog soit rayé de la toile aujourd’hui.
Pour compenser pour le manque de contenu réel de mon compte-rendu, je vous joins quelques images, dessinées au cours de mes nuits à Magog. J’ai essayé de coucher sur papier quelques plans du scénario pour mieux les visualiser.
samedi 22 septembre 2007
Juste pour écœurer
Fabulé par Alex à 19:25
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire